Gestion par Internet des réservations avions et instructeurs : Les festivals de l’été à l’heure des comptes

C’est dans ce cadre-là que l’application FireChat a connu un essor particulièrement important lors des derniers mouvements sociaux à Hong Kong. Il a à son service un nombre considérable de journaux, qui se vantent d’être bien parisiens, et qui, peut-être, sont bien français. Il n’est qu’à observer l’exil fiscal des entrepreneurs français en Belgique – où les plus-values ne sont pas taxées – à la veille de la cession de leur société pour comprendre à quel point il serait déraisonnable de porter cette taxation à plus de 50 %, comme on le propose parfois, au prétexte d’aligner la fiscalité du travail et du capital. Pire, cette liste n’est pas seulement longue, elle est illimitée. Pendant plusieurs années, il a appliqué son temps et ses facultés à l’étude des maladies et des remèdes. Bref, le modèle extraverti de croissance chinois a du plomb dans l’aile. Cette réflexion nous fera rejeter toute croyance qui ne nous semblera pas de nature à assurer ce résultat. La foi de l’homme dans cette autorité collective, n’est nullement ébranlée quoi qu’il sache que d’autres siècles, d’autres pays, d’autres sectes, d’autres églises, d’autres partis, ont pensé et pensent encore exactement le contraire. De telles généralisations sont des découvertes du génie, et les plus importantes de toutes. Voudrait-on taxer également les revenus du travail et les revenus du capital qu’il faudrait alors s’orienter vers un impôt sur la dépense – « à dépense égale, impôt égal » – retenant comme matière fiscale le revenu moins l’épargne (le voilà qui permettrait en outre aux capitaux de pouvoir changer librement de mains et d’emploi pour être orientés là où ils sont le plus rentables). En sorte que les transactions définitives se font à travers le temps et l’espace, entre inconnus, sans que personne sache, au moins dans la plupart des circonstances, par l’effort de qui ses besoins seront satisfaits, aux désirs de qui ses propres efforts procureront satisfaction. Il y a dix-huit cents ans, Lucrèce s’écriait :O miseras hominum mentes ! o pectora coeca ! D’abord, les taux auxquels les sociétés d’autoroutes ont refinancé leurs dettes n’ont cessé de baisser, leur permettant d’engranger des gains significatifs de refinancement. Gestion par Internet des réservations avions et instructeurs aime à rappeler ce proverbe chinois « Ce que l’on apprend durant l’enfance est mieux gravé que dans la pierre ». Dans l’ordre logique, après le Besoin et la Satisfaction unis dans le même individu par l’effort isolé, — après le troc simple, — après le troc à deux facteurs, ou l’Échange composé de vente et achat, — apparaissent encore les transactions étendues dans le temps et l’espace par le moyen du crédit, titres hypothécaires, lettres de change, billets de banque, etc. Grâce à ces merveilleux mécanismes, éclos de la civilisation, la perfectionnant et se perfectionnant eux-même avec elle, un effort exécuté aujourd’hui à Paris ira satisfaire un inconnu, par delà les océans et par delà les siècles ; et celui qui s’y livre n’en reçoit pas moins sa récompense actuelle, par l’intermédiaire de personnes qui font l’avance de cette rémunération et se soumettent à en aller demander la compensation à des pays lointains ou à l’attendre d’un avenir reculé. En déduisant les réserves des banques auprès de la BCE sur lesquelles celle-ci paie des intérêts, Sinn arrive à un montant de 1.636 milliards d’euros. Elle est plus rouge que si elle venait de gagner le « tournament » de tennis. Ici le monde de la foi, qui a conscience de toutes ces choses, reprend l’avantage. Mais elle a également affublé ce beau principe d’un précepte stupide selon lequel « nul n’est censé ignorer la Loi ». Entre nos besoins et nos satisfactions, s’interposent des obstacles que nous parvenons à amoindrir par l’union des forces ou par la séparation des occupations, c’est à dire par l’Échange. C’est pourquoi il est non-seulement admissible mais bon de mettre sur les boissons fortes l’impôt le plus élevé, en supposant que l’État ait besoin de tout le revenu que cet impôt produit. Mais l’Échange lui-même rencontre des obstacles, exige des efforts. Acceptable dans un État pour qui la parole est rare et précieuse. Mais si nos derniers exemples présentent une grande cause aboutissant à un petit effet, nous en avons cité d’autres, tout de suite auparavant, qui devraient se définir de la manière inverse : un grand effet sortant d’une petite cause. La preuve en est dans l’immense masse de travail humain qu’il met en mouvement.